jeudi 25 février 2010

Carmilla, donc

D'avoir parlé hier de Rouge Flamenco, le souvenir m'est revenu de tous ces dessins que j'ai faits à l'époque (je devais avoir 14 ans) pour essayer de représenter la belle Carmilla. Fort heureusement pour la postérité, aucun d'entre eux n'a survécu à 6 déménagements et un incendie.

Du coup, hier, j'ai repris mon crayon. Bon, maintenant que je le regarde, je me rends compte que cette fichue jambe droite devrait être tendue et non pliée, mais bref. Je ne rognerai pas le pied (même si je devrais peut-être), car ces anneaux à la cheville sont partie prenante du personnage. Au moins pendant une grande partie de l'histoire.

2 commentaires:

  1. Ah tiens, je ne voyais pas tout à fait Carmilla comme ça, mais ça lui va bien.

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  2. Merci ^^
    Plus jeune je la voyais plus pulpeuse, et elle l'était dans mes dessins, mais je ne sais pas à quel point c'était dû à mon modèle de l'époque, Michael Turner, un homme qui avait de l'anatomie féminine une vision un brin généreuse...

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