mardi 22 mars 2011

Comfort food. Rose.



Ces derniers jours, on va dire que la vie n'est pas tendre pour pas mal de gens qui nous sont chers. Nous, dans ces cas-là, on soutient comme on peut, et un peu à l'américaine il faut le dire, à l'aide de bombes caloriques hyper sucrées. Habituellement ce sont des madeleines ou des macarons, mais ce week-end il a fallu sortir l'artillerie lourde : le cupcake.

Si vous aussi vous voulez ingérer 3000 calories par gâteau ou les offrir à des amis pour leur remonter le moral tant bien que mal, voilà la recette de ces petites choses :

Pour les gâteaux (18 pièces) :
- 200g de beurre mou
- 225g de sucre en poudre
- 225g de farine
- 1/2 sachet de levure chimique
- 4 œufs
- parfum (ici j'ai mis de l'extrait de vanille, mais ça doit être pas mal avec du rhum aussi, ou de l'amande amère)

Mélanger le beurre et le sucre puis ajouter les œufs. Bien mélanger avant d'ajouter la farine, la levure, puis le parfum.
Verser dans des moules à muffins dans lesquels vous aurez préalablement déposé des caissettes en papier (j'ai trouvé les miennes sans difficulté en grande surface).
Enfourner entre 20 et 25 minutes à 170°C. La pointe d'un couteau doit ressortir sèche.

Pour la crème au beurre :
- 150g de beurre mou
- 350g de sucre glace
- une ou deux cuillères à soupe de lait
- parfum et colorant (facultatifs)

Battre le beurre mou (si vous avez un robot, c'est carrément pratique) puis ajouter le sucre glace peu à peu. Ajuster la texture si besoin avec un peu de lait, puis ajouter le parfum et le colorant (ici, vanille et colorant framboise acheté chez Artgato). Utiliser une poche à douille avec une douille étoile pour mettre sur le gâteau.

Ici, en l'occurrence, j'ai également creusé un trou dans les gâteaux, les ai imbibés légèrement de sirop de sucre de canne additionné d'un peu de Kirsch, et ai glissé quelques morceaux de fraise fraîche dans les trous. A vous de voir quelle combinaison vous tente !


Voilà, voilà... C'est comme un gros câlin tout sucré.

lundi 14 mars 2011

On touche avec les yeux ?

Teaser d'une émission de télé-crochet sur une chaîne grand public.
La phrase finale, la phrase d'accroche, prononcée d'une voix dramatique à souhait, genre "Luke je suis ton père" :
Vous n'avez jamais vu ce que vous allez entendre.
Je dois admettre que quelque chose me laisse perplexe.

vendredi 11 mars 2011

Mars, le mois des sorties

Comme beaucoup de lecteurs de fantasy (et de bit-lit), je suis avec délectation un certain nombre de séries dont j'ai d'abord dévoré les tomes existants et dont j'attends maintenant les tomes suivants avec une certaine impatience. Il s'agit principalement d'auteurs anglo-saxons, et ceux-ci présentent un certain nombre d'avantages dont le moindre n'est pas la sortie directe en livre de poche qui limite considérablement les frais. C'est le cas de trois des quatre livres que j'attendais en trépignant, mais que je ne pensais pas avoir en même temps car les dates de sortie prévues s'échelonnaient entre février et avril.

Finalement, je les ai reçus chacun à un jour d'intervalle (je m'approvisionne principalement sur un site de vente en ligne bien connu qui me permet d'avoir les livres rapidemment et sans payer de frais de port). J'ai donc beaucoup de mal à les lâcher car ces quatre auteurs ont un talent certain pour raconter des histoires sans temps mort, divertissantes et avec des personnages attachants. Je vous ai déjà parlé de chacun d'entre eux sur ce blog, et je ne m'étendrai pas beaucoup du coup, d'autant qu'il faut que je retourne bosser pour finir tôt pour pouvoir retourner bouquiner (on a les priorités qu'on peut).

Outside In, de Maria V Snyder (auteur de Poison Study) fait suite à Inside Out et poursuit l'aventure de Trella dans "Inside" ce monde cubique et confiné. Deux romans courts et dynamiques qui se lisent à toute vitesse, peu de prise de tête ou alors très vite réglée, et pas mal d'action.

This Side of the Grave est le cinquième tome de Jeaniene Frost sur sa série Night Huntress, et après deux spin-off de bonne qualité, on revient aux personnages principaux, Cat et Bones, qui nous avaient pas mal manqué. Toujours quelques scènes qui font rougir, l'alchimie entre les deux protagonistes n'étant plus à démontrer, mais surtout la résolution d'un conflit et l'ouverture sur d'autres romans (le prochain est prévu en automne, qu'est-ce que j'aime la productivité américaine !).

Dans Iron Crowned, le troisième tome de l'une des séries de Richelle Mead (qui a aussi produit Vampire Academy), on est toujours dans la bit-lit, sauf que ce ne sont pas des vampires mais des faeries, le genre beaux, magiques, sensuels, et obsédés par le pouvoir. Et Eugénie, classique hybride surpuissante comme on les aime, a un petit peu de mal à combiner son côté gentillet et humain avec la soif de pouvoir qui semble venir de sa lignée.

Enfin, je commence tout juste Twilight's Dawn, le dernier tome d'Anne Bishop dont je vous parlais ici et aussi . Nul besoin de l'avoir fini pour émettre un avis, cet auteur a le don de me gagner dès la deuxième page à peu près. De ces quatre livres, je sais déjà que c'est celui-ci que je vais préférer... Un peu comme pour King, j'y vais les yeux fermés (enfin, façon de parler, parce que bon pour bouquiner, c'est moyen pratique).

samedi 5 mars 2011

La carrière selon Geneviève

Dans une de ces émissions "Fan des années..." qui passent sur TMC, quelques célébrités commentent les évènements cinématographiques, musicaux et télévisuels d'une année donnée. Ici c'est l'année 1987 qui est passée au crible, avec notamment la première élection de Miss France en direct à la télévision. Sur un évènement comme celui-ci, c'est forcément la dame au chapeau que l'on interroge, et celle-ci se fend de la remarque suivante sur la miss France élue cette année-là :
"Nathalie Marquay, qui a fait une belle carrière puisqu'elle a épousé notre ami Jean-Pierre Pernaut."

Alors, je ne suis pas le genre à voir le sexisme primaire partout, mais là... Même Jarjar a pouffé. Du coup, on a zappé, et on est partis sur le foot !