En allant à Sèvres en décembre, j'avais plusieurs buts. Faire dédicacer un roman que je possédais déjà. Trouver le cadeau d'anniversaire du mari d'une collègue. Mais aussi me faire plaisir et, si possible, découvrir, et repartir avec plus que ma liste de courses (Malpertuis III, et le deuxième tome du Club Diogène notamment), parce que je trouve que cette manifestation s'y prête particulièrement bien.
Je suis repartie avec deux livres en plus de ce que j'avais prévu, un choisi pour sa couverture (oui, je suis superficielle comme de pas permis), et un choisi pour son auteur dont j'avais entendu beaucoup de bien de la part de gens dont je respecte les goûts littéraires : Les Pilleurs d'Âmes, de Laurent Whale.
J'aime bien commencer un livre sans savoir de quoi il s'agit. Pour moi, c'est comme partir à l'aventure (en plus d'être superficielle, j'ai une vie franchement passionante). Et pour cela, je trouve que l'extérieur de ce roman - image, quatrième de couverture - est particulièrement réussi. Je l'ai commencé sans idée préconcue, et je l'ai adoré.
Parce que la découverte a fait partie du plaisir, je ne vous ferai pas de résumé. Je vous dirai simplement qu'il y a des flibustiers, des bateaux, qu'on y visite Tortuga, mais aussi le sénat d'un empire intergalactique (mais oui !), et qu'on ne s'ennuie pas une seule seconde.
C'est vraiment le roman d'aventures tel que je le conçois, d'un format relativement court, avec une histoire construite et logique, un début, un milieu et une fin, du suspense et de l'imagination, le tout ancré dans une réalité familière et documentée qui donne énormément de réalisme à l'ensemble.
Vraiment, un très bon moment de lecture !
En outre, Laurent Whale est le plus charmant des pirates, même (ou surtout ?) quand il fait des propositions malhonnêtes.
RépondreSupprimerJe ne sais pas pour ce qui est des propositions malhonnêtes, mais en ce qui concerne le côté charmant (voire charmeur), y a pas de doute !
RépondreSupprimerOn monte un fan-club ?
RépondreSupprimer