Non, je ne vais pas vous parler de la Corse ou du Pays-Basque, encore moins de la Guadeloupe ou de la Martinique, même si le thème pourrait être décliné dans ses quatre lieux. Je vais vous parler de plongée et de ma récente mise en autonomie. En effet, lors du week-end pascal, au lieu de passer du temps avec ma famille, j'ai été profité du soleil de la Bretagne, et de la fraîcheur de ses eaux pour passer mon niveau 2 de plongée. Avec 13 degrés maximum au fond de l'eau (et des pics à 9° d'après les instruments), les combinaisons étaient de sortie. Des moniteurs en étanche pour la plupart, certains en semi-étanche, et nombreux étaient ceux qui, comme moi, étaient en humide. Comprendre, de l'eau rentre par les manchons, le cou ou les pieds et circule au plus près du corps. Au bout de quelques instants cependant, celle-ci a pris la température corporelle, et le froid n'est plus qu'un lancinant souvenir. A la fin des plongées, certains ressentaient le froid, mais ma couche protectrice m'a permis d'éviter cette douloureuse sensation.
Obtenir son niveau 2, est-ce facile ? Ca dépend. Tout d'abord, il y a deux parties : de la théorie et de la pratique. Nous avions passé la théorie au club, un soir, avec cinq épreuves étalées sur une durée de 3 heures. Nous avions suivi des cours toute l'année à raison d'une fois par mois en moyenne le soir. A la sortie du bureau, ce n'était pas une synécure. Ensuite, et c'était le thème de la sortie, la pratique. A la différence du niveau 1, le niveau 2 et ses successeurs se passent obligatoirement en milieu naturel. Au programme, diverses épreuves des plus simples (savoir gréer sa bouteille, vider son masque, lâcher-reprise d'embout) à des moins simples (nage en apnée, de la remontée assistée sur un ou deux embouts, ou remontée sans embouts, réagir en cas de souci dans la palanquée), le tout sous l'oeil bienveillant d'un encadrant pour deux candidats. Toutes les manoeuvres ont été demandées, réalisées, plus ou moins bien, mais avec comme résultat final une validation de niveau accordée au matin du quatrième jour ce qui nous a permis, à mes 3 camarades ayant réussi l'évaluation et moi-même, de faire nos premières autonomies en cette belle journée qu'était le lundi de Pâques. Deux plongées d'une demi-heure chacune environ (froid oblige, la sécurité primait sur l'envie de traîner au fond), et nous pouvions (re)découvrir les profondeurs (20 mètres maximum, ce sont les prérogatives) de Bretagne avec moins de préoccupation que lors des plongées précédentes où nous étions sûrs que quelque chose allait être simulé, mais avec tout autant d'attention car nous étions responsables l'un de l'autre au sein des équipes de plongée.
Pour nos autres camarades d'aventure, ce fut tout de même l'occasion de faire 8 plongées dans la baie de Saint-Malo, de prendre de l'expérience en mer et de valider une grande partie des compétences de niveau 2. Il leur reste plus d'un an pour valider celles qui leur manque pour pouvoir à leur tour plonger en autonomie.
Prochaine étape : une profonde lors de la prochaine sortie en Provence...
Obtenir son niveau 2, est-ce facile ? Ca dépend. Tout d'abord, il y a deux parties : de la théorie et de la pratique. Nous avions passé la théorie au club, un soir, avec cinq épreuves étalées sur une durée de 3 heures. Nous avions suivi des cours toute l'année à raison d'une fois par mois en moyenne le soir. A la sortie du bureau, ce n'était pas une synécure. Ensuite, et c'était le thème de la sortie, la pratique. A la différence du niveau 1, le niveau 2 et ses successeurs se passent obligatoirement en milieu naturel. Au programme, diverses épreuves des plus simples (savoir gréer sa bouteille, vider son masque, lâcher-reprise d'embout) à des moins simples (nage en apnée, de la remontée assistée sur un ou deux embouts, ou remontée sans embouts, réagir en cas de souci dans la palanquée), le tout sous l'oeil bienveillant d'un encadrant pour deux candidats. Toutes les manoeuvres ont été demandées, réalisées, plus ou moins bien, mais avec comme résultat final une validation de niveau accordée au matin du quatrième jour ce qui nous a permis, à mes 3 camarades ayant réussi l'évaluation et moi-même, de faire nos premières autonomies en cette belle journée qu'était le lundi de Pâques. Deux plongées d'une demi-heure chacune environ (froid oblige, la sécurité primait sur l'envie de traîner au fond), et nous pouvions (re)découvrir les profondeurs (20 mètres maximum, ce sont les prérogatives) de Bretagne avec moins de préoccupation que lors des plongées précédentes où nous étions sûrs que quelque chose allait être simulé, mais avec tout autant d'attention car nous étions responsables l'un de l'autre au sein des équipes de plongée.
Pour nos autres camarades d'aventure, ce fut tout de même l'occasion de faire 8 plongées dans la baie de Saint-Malo, de prendre de l'expérience en mer et de valider une grande partie des compétences de niveau 2. Il leur reste plus d'un an pour valider celles qui leur manque pour pouvoir à leur tour plonger en autonomie.
Prochaine étape : une profonde lors de la prochaine sortie en Provence...