Au mois de décembre, j’ai fait un petit tour aux Rencontres de l’Imaginaire, à Sèvres, en région parisienne. Evidemment, étant moi, je n’ai pas pu m’empêcher de repartir avec de quoi remonter ma pile à lire pourtant à peine entamée - et Jarjar n'était pas en reste. Parmi mes achats, l’anthologie Malpertuis II (forcément, vu le haut niveau de la première), le premier tome du Club Diogène (que je commenterai dès que je l’aurai terminé, soit bientôt), Fils de la Haine, et celui-ci, Loup y es-tu ?, d’Henri Courtade.
J’avoue que j’ai choisi le livre à sa couverture – première et quatrième d’icelle. Elle m’a carrément tapé dans l’œil. Le dessin est joli, mystérieux, et il faut bien admettre que le résumé met l’eau à la bouche : des héros de contes de fées, transposés dans notre monde, en opposition avec les méchants de notre enfance, la vilaine reine et le Loup. Le début de l’histoire tient ses promesses : la méchante reine, la belle-mère de Blanche-Neige elle-même, à la tête d’une multinationale, prête à conquérir le monde, voudrait quand même s’assurer que ses ennemies de toujours – Blanche-Neige, la Belle au Bois dormant, Cendrillon et le Petit Chaperon Rouge – ne vont pas s’interposer. Pendant ce temps, les survivants des Sept Nains tentent de retrouver les jeunes femmes pour les mettre en sécurité.
Tout cela a un côté très jubilatoire, cette manière de réutiliser les contes de fées de notre enfance, et de rappeler par la même occasion que c’est quand même très sombre, un conte. L’idée est vraiment très bonne – ai-je trouvé – et l’adaptation des personnages à notre époque, l’utilisation de l’actualité et de l'histoire proche, sont vraiment très bien faites.
En revanche, je n’ai jamais réussi à rentrer complètement dedans. Je l’ai lu, d’un bout à l’autre, et apprécié, intellectuellement, mais il ne m’a absolument pas touchée émotionnellement, pas procuré de frisson particulier ni ce besoin absolu de tourner la page que peuvent me donner certains ouvrages. Ce n’est pas un livre pour lequel je me priverais de sommeil, mais pour une lecture de vacances que l’on peut être amené à reposer n’importe quand, c’est très bien. Et rien que pour l’idée, amusante et originale, cela valait le coup de le lire…
J’avoue que j’ai choisi le livre à sa couverture – première et quatrième d’icelle. Elle m’a carrément tapé dans l’œil. Le dessin est joli, mystérieux, et il faut bien admettre que le résumé met l’eau à la bouche : des héros de contes de fées, transposés dans notre monde, en opposition avec les méchants de notre enfance, la vilaine reine et le Loup. Le début de l’histoire tient ses promesses : la méchante reine, la belle-mère de Blanche-Neige elle-même, à la tête d’une multinationale, prête à conquérir le monde, voudrait quand même s’assurer que ses ennemies de toujours – Blanche-Neige, la Belle au Bois dormant, Cendrillon et le Petit Chaperon Rouge – ne vont pas s’interposer. Pendant ce temps, les survivants des Sept Nains tentent de retrouver les jeunes femmes pour les mettre en sécurité.
Tout cela a un côté très jubilatoire, cette manière de réutiliser les contes de fées de notre enfance, et de rappeler par la même occasion que c’est quand même très sombre, un conte. L’idée est vraiment très bonne – ai-je trouvé – et l’adaptation des personnages à notre époque, l’utilisation de l’actualité et de l'histoire proche, sont vraiment très bien faites.
En revanche, je n’ai jamais réussi à rentrer complètement dedans. Je l’ai lu, d’un bout à l’autre, et apprécié, intellectuellement, mais il ne m’a absolument pas touchée émotionnellement, pas procuré de frisson particulier ni ce besoin absolu de tourner la page que peuvent me donner certains ouvrages. Ce n’est pas un livre pour lequel je me priverais de sommeil, mais pour une lecture de vacances que l’on peut être amené à reposer n’importe quand, c’est très bien. Et rien que pour l’idée, amusante et originale, cela valait le coup de le lire…
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