... rien à voir avec Alice, mais c'est vrai qu'en ce moment j'ai un peu l'impression d'être le lapin blanc, et à peu près aussi en avance que lui dans la montagne de choses à faire. Un mariage et un déménagement, la quantité invraisemblable de paperasse générée par ces évènements, oh bon sang et les déclarations d'impôts qui arrivent, et une période un peu chargée au bureau pour couronner le tout - et alors même que j'écris ceci, un genre de mammouth professionnel vient de nous tomber sur le coin de la figure.
C'est d'autant plus frustrant que j'ai des choses à publier, une petite merveille de Pâques qui moisit dans un coin en attendant que je lui accorde les honneurs qui lui sont dus, des bouquins lus qui s'empilent et prennent la poussière en me regardant d'un œil suppliant, et une idée de texte sur les câbles du Golden Gate Bridge qui servent de ficelles à certains scénaristes en mal d'inspiration.
Je ne parle même pas des petites choses qu’il faut que j’écrive et / ou retravaille pour divers appels à texte pour lesquels, fort heureusement, je commence à paniquer suffisamment tôt pour que, normalement, je parvienne à envoyer ma participation dans les temps.
Au final, j’ai cédé aux sirènes du bon vieux petit cahier à trimbaler dans le sac à main (déjà bien blindé), que mes collègues me vantaient depuis des semaines et auquel, naïve, je pensais pouvoir substituer un tableau Excel – déformation professionnelle de contrôleuse de gestion. Avec un peu de chance, mes deux heures de trajet quotidiennes pourront désormais être utilisées de manière rentable (ce qui va vite me saouler car ce sont normalement mes deux heures de lecture à moi…) au moins jusqu’à ce que les choses se tassent !
C'est d'autant plus frustrant que j'ai des choses à publier, une petite merveille de Pâques qui moisit dans un coin en attendant que je lui accorde les honneurs qui lui sont dus, des bouquins lus qui s'empilent et prennent la poussière en me regardant d'un œil suppliant, et une idée de texte sur les câbles du Golden Gate Bridge qui servent de ficelles à certains scénaristes en mal d'inspiration.
Je ne parle même pas des petites choses qu’il faut que j’écrive et / ou retravaille pour divers appels à texte pour lesquels, fort heureusement, je commence à paniquer suffisamment tôt pour que, normalement, je parvienne à envoyer ma participation dans les temps.
Au final, j’ai cédé aux sirènes du bon vieux petit cahier à trimbaler dans le sac à main (déjà bien blindé), que mes collègues me vantaient depuis des semaines et auquel, naïve, je pensais pouvoir substituer un tableau Excel – déformation professionnelle de contrôleuse de gestion. Avec un peu de chance, mes deux heures de trajet quotidiennes pourront désormais être utilisées de manière rentable (ce qui va vite me saouler car ce sont normalement mes deux heures de lecture à moi…) au moins jusqu’à ce que les choses se tassent !
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